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Le professeur Perronne lance un cri d’alarme

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L’Armée aujourd’hui

Interview du général Delawarde par Places d’Armes

 

 

 

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 Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins.

 
Arrêt de la Cour suprême de New York  :
 Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins.  Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
 Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins.  Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES.  La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épuisées.
 Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n’a été possible que grâce à la coopération internationale d’un grand nombre d’avocats et de scientifiques.  Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
 En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale.  D’une part, le Code de Nuremberg apparaît à l’article 118b de la Constitution et en Suisse, l’utilisation inappropriée du génie génétique chez l’homme est interdite, selon l’article 119 de la Constitution fédérale.  Ceci est complété par l’article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu’à 10 ans de prison.
 Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l’article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
 Dans le cas d’accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d’accorder un poids particulier à l’importance de ces accusations.
 L’avocat allemand Rainer Füllmich et plus de 100 autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires.  AUCUN média n’en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
 Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu’il s’agit d’un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l’opinion publique n’en soit pas informée.  Nous sommes au milieu d’une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l’hiver prochain.
 Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d’avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
 
 INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants… ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
 
 Vous pouvez voir l’actualité sur le lien suivant :
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Message de la Vierge Marie donné à Akita

 

Le Message de la Vierge Marie donné à Akita (Japon) en 1973.
L’origine divine en a été reconnue par l’Eglise.

1er Message : Vendredi 6 Juillet 1973

C’était déjà la nuit profonde quand, vers trois heures du matin…J’étais en train de prier. C’est alors que j’ai entendu une voix qui venait je ne sais d’où et qui me disait: “Ne crains pas. Ne prie pas seulement à cause de tes péchés, mais en réparation de ceux de tous les hommes. Le monde actuel blesse le Très Saint Cœur de Notre-Seigneur par ses ingratitudes et ses injures. La blessures de Marie est beaucoup plus profonde et douloureuse que la tienne.

Allons prier ensemble à la chapelle.”La personne qui s’exprimait ainsi était la jolie personne qui avait dit la prière avec moi dans la chapelle.”
Sans doute m’étais-je un peu habituée à elle. Toujours est-il que je me suis enhardie pour la première fois à regarder le visage de celle qui se tenait si près de mon épaule droite. En la voyant, la ressemblance était tellement frappante que j’ai prononcé instinctivement le nom de ma sœur aimée. Celle-ci était décédée quelques années auparavant après avoir reçu la grâce du baptême.”

Alors, elle m’a souri avec douceur et m’a fait un léger “non” de la tête: ” Je suis celui qui est avec toi et qui veille sur toi. ” En même temps, elle m’a fait signe de sortir et a disparu à mes yeux. Je me suis vite rhabillée et quand je suis sortie dans le corridor, elle se trouvait à quelques pas devant moi. Je l’ai suivie à travers le long couloir, à pas rapides, habitée d’un sentiment de sécurité tout à fait comparable à celui du petit enfant qu’on tient par la main. Dès que j’ai mis le pied dans la chapelle, celle qui était si près de moi comme une présence rassurante disparut à mes yeux. “Me trouvant seule, j’ai fait un salut en direction de l’autel, puis je me suis dirigée vers la statue de la Sainte Vierge.”

Les paroles de la “femme” résonnaient encore dans mon esprit: ” La blessure de Marie est beaucoup plus profonde et douloureuse… ”
A l’époque, la statue était installée à droite au fond de l’autel, lequel était surélevé. Lorsque j’ai mis le pied sur la marche de l’autel, j’ai senti soudain que la statue de bois prenait vie et qu’elle était sur le point de m’adresser la parole. J’ai regardé: elle était baignée d’une lumière éblouissante. Instinctivement, je me suis prosternée à terre et au même moment une voix d’une beauté indescriptible a frappé mes oreilles totalement sourdes:

“- Ma fille, ma novice, tu m’as bien obéi en abandonnant tout pour me suivre. L’infirmité de tes oreilles est-elle pénible ? Elles guériront, sois-en sûre. Sois patiente. C’est la dernière épreuve. La blessure de la main te fait-elle mal ? Prie en réparation des péchés de l’humanité. Chaque personne de cette communauté est ma fille irremplaçable.
Dis-tu bien la Prière des Servantes de l’Eucharistie ?Allons, prions ensemble.”

Alors qu’Elle commençait la prière, l’ange qui m’avait conduit à la chapelle réapparut à côté de moi et se joignit à nos voix.
Toujours prosternée et l’esprit vide de toute autre pensée, je venais d’entamer la phrase “Jésus présent dans l’Eucharistie” quand la voix m’interrompit: “réellement présent”, et comme pour mieux l’imprégner dans mon esprit troublé, la voix compléta: “Dorénavant, tu ajouteras réellement”, dit-elle en insistant sur le mot réellement.”

Ai-je même trouvé le temps de répondre oui? Tout ce que je sais, c’est que je ne pensais plus à rien d’autre en m’unissant à la voix dont la beauté inexprimable semblait venir du Ciel. J’étais aidée par la douce voix qui parlait à mes côtés:

” Ô Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à Votre Cœur adorable immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, dans la louange du Père, implorant la venue de votre Règne, et je vous fait l’oblation totale de mon corps et de mon âme. Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois jamais séparée de votre Divin Fils et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. “

Quand la prière fut terminée, la voix reprit:

” Prie beaucoup pour le Pape, les Évêques et les prêtres. Depuis ton baptême, tu as toujours prié fidèlement pour eux. Continue de prier beaucoup, beaucoup. Transmets à ton Supérieur ce qui s’est passé aujourd’hui et obéis-lui dans tout ce qu’il te dira. Présentement, il demande qu’on prie avec ferveur”.

La voix se tut et après un court instant, l’ange entama une prière qui nous est familière. Je repris aussitôt avec lui: “Seigneur Jésus-Christ, Fils du Père… ” Quand cette prière fut terminée, j’ai relevé timidement la tête: la splendeur lumineuse avait complètement disparu. Un ange n’était plus visible et la statue avait retrouvé son aspect habituel. ”

2ème Message : 3 août 1973, premier vendredi du mois 

Une semaine a passé. Sœur Agnès commence la journée par un temps de prière plus long que d’habitude à la chapelle. La matinée s’écoule sans événement particulier. L’après-midi, pendant la visite au Saint Sacrement, elle raconte ce qui arriva:

” Je suis restée à méditer la Passion de Notre-Seigneur à partir de deux heures et demie de l’après-midi et j’ai récité un chapelet. S’était-il écoulé plus d’une heure depuis mon arrivée à la chapelle? Ce jour-là, l’ange gardien est apparu, ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps, et il a récité le chapelet avec moi. Pendant ce temps, j’avais à l’esprit les questions de Monseigneur et je priais secrètement que l’occasion me soit donnée de les formuler.

L’ange avait-il deviné mon désir? L’occasion me fut donnée rapidement:
” Tu as quelque chose à demander? Vas-y, tu n’as pas à te gêner, dit-il avec un sourire en penchant un peu la tête. Alors, prenant mon courage à deux mains, très impressionnée, j’entamai le premier mot, quand soudain, de la statue de Marie, j’entendis comme la première fois la voix d’une indicible beauté:

” Ma fille, ma novice, aimes-tu le Seigneur? Si tu aimes le Seigneur, écoute ce que j’ai à te dire.C’est très important. Tu le transmettras à ton Supérieur.”

” Beaucoup d’hommes en ce monde affligent le Seigneur. Je souhaite des âmes pour Le consoler. Pour adoucir la colère du Père Céleste, je souhaite, avec mon Fils, des âmes qui réparent, par leur souffrance et leur pauvreté, pour les pécheurs et les ingrats.”

” Pour faire connaître au monde sa colère, le Père Céleste s’apprête à infliger un grand châtiment à l’humanité entière. Avec mon Fils, je suis intervenue tant de fois pour apaiser le courroux du Père. J’ai empêché la venue de calamités en lui offrant les souffrances du Fils sur la Croix, son précieux Sang, les âmes bien-aimées qui le consolent et forment la cohorte des âmes victimes. Prière, pénitence et sacrifices courageux peuvent adoucir la colère du Père. Je le désire aussi de ta communauté. Qu’elle aime la pauvreté, se sanctifie et prie en réparation des ingratitudes et des outrages de tant d’hommes.

Récitez la Prière des Servantes de l’Eucharistie en prenant bien conscience de son contenu; mettez-la en pratique; offrez en réparation des péchés. Que chacune s’efforce, selon ses capacités et sa position, de s’offrir entièrement au Seigneur.”

Même dans un Ordre séculier, la prière est nécessaire. Déjà, les âmes qui veulent prier sont en train d’être rassemblées. Sans trop vous attacher à la forme, soyez fidèles et ferventes à la prière pour consoler le Maître. “

Après un silence:

” Ce que tu penses dans ton cœur, est-ce vrai? Es-tu vraiment décidée à devenir la pierre rejetée? Ma novice, toi qui veux être sans partage au Seigneur, pour devenir l’épouse digne de l’Époux, prononce tes vœux en sachant que tu dois être fixée sur la croix avec trois clous. Ces trois clous sont la pauvreté, la chasteté et l’obéissance. Des trois, l’obéissance est le fondement. Dans un total abandon, laisse-toi conduire par ton Supérieur. Il saura te comprendre et te diriger. “

C’était une voix d’une beauté indéfinissable, comme il ne peut y en avoir qu’au Ciel. J’étais beaucoup trop impressionnée.

Cependant, au cours de l’office du soir se produisit un phénomène inhabituel qui porta la métamorphose de la main à la connaissance de toutes. L’office allait bientôt se terminer quand la statue devint à nouveau resplendissante de lumière. L’une des Sœurs, qui se trouvait au premier rang, aperçut un liquide ruisselant comme de la sueur et sortit en informer les absentes.

Sœur Agnès qui avait la tête baissée et ne se doutait de rien, sentit soudain quelqu’un à côté d’elle. Elle leva les yeux et vit l’ange qui lui parla:

“Marie est encore plus triste que lorsqu’elle versait du sang. Essuie la sueur. “

Elle se joignit aux autres qui avaient apporté un sac de coton hydrophile. A cinq, elles épongèrent la sueur avec beaucoup de précaution et de dévotion. Tout le corps en était trempé. Elles avaient beau essuyer, essuyer… Un liquide semblable à de la sueur graisseuse suintait sans arrêt, surtout sur le front et sur le cou. A la stupéfaction générale se mêlait un chagrin partagé par toutes. Sœur K. pria avec des larmes dans la voix: “Sainte Marie, pardonnez-nous de vous causer tant de tristesse et de douleur. Nous vous demandons pardon pour nos péchés et nos fautes. Protégez-nous, aidez-nous! “, et chacune de s’appliquer à essuyer avec les autres l’endroit qui se présente devant ses yeux dans une commune intention de réparation et de vénération. Les cotons sont trempés à tordre.

Après le dîner, on retourne voir la statue: elle est à nouveau en sueur. Affolées, les Sœurs recommencent à essuyer. On entend même Sœur 0., qui n’est pas d’un naturel bavard, murmurer d’une voix triste: ” Mon coton ne s’imbibe pas. On dirait que cela ne coule pas quand j’essuie. ” Aussitôt, comme en réponse à ses paroles angoissées, le coton qu’elle tient se met à boire comme une éponge trempée dans l’eau, ce qui l’impressionne beaucoup.

Au bout d’un moment, l’une des Sœurs fait remarquer que les cotons sentent bon. Chacune se met à sentir le sien: il s’en dégage une essence subtile dont on ne peut dire si elle tient de la rose, de la violette ou du lys. C’est le ravissement général, on n’a jamais senti une essence aussi merveilleuse. Quand Sœur 0. déclare que le plus subtil des parfums ne peut exhaler une telle suavité, et c’est bien l’avis de tout le monde, on se demande si ce ne serait pas le parfum du Paradis.

Le dimanche suivant, quand elles entrent dans la chapelle, elles sont frappées par le même parfum. La Supérieure va s’assurer qu’il vient bien de la statue tandis que les autres, restées à leur place, se sentent comme enveloppées dans les délicieuses effluves. L’abattement de la veille au soir causé par la découverte de la sueur, fait place à la paix et à la joie qui rayonnent sur tous les visages.

Le parfum resta longtemps dans la chapelle. A chaque fois qu’on y allait, on avait l’impression d’être comme transporté au Ciel.

LE TROISIÈME MESSAGE DE LA VIERGE  

Peu après, ses compagnes lui confient la garde de la maison pendant qu’elles sortent en ville. Elle en profite pour se rendre à la chapelle où elle décide de dire le chapelet.Elle raconte:
“Sortant mon chapelet, je me suis agenouillée et j’ai fait le signe de croix. A peine ce geste était-il achevé que la Voix d’une indicible beauté parvint de la statue à mes oreilles sourdes. Dès le premier mot, je me suis prosternée à terre en concentrant toute mon attention:
” Ma fille chérie, écoute bien ce que je vais te dire. Tu en informeras ton Supérieur. “Après un court silence:

” Comme je te l’ai déjà dit, si les hommes ne se repentent et ne s’améliorent pas, le Père infligera un châtiment terrible à l’humanité entière. Ce sera alors un châtiment plus grave que le déluge, tel qu’il n’y en a jamais eu auparavant. Un feu tombera du ciel et anéantira une grande partie de l’humanité, les bons comme les méchants, n’épargnant ni les prêtres ni les fidèles.

Les survivants se trouveront dans une telle désolation qu’ils envieront les morts. Les seules armes qui nous resteront alors seront le Rosaire et le Signe laissé par le Fils. Récitez chaque jour les prières du Rosaire. Avec le Rosaire, priez pour le Pape, les Évêques et les prêtres.

” L’action du diable s’infiltrera même dans l Église, de sorte qu’on verra des cardinaux s’opposer à des cardinaux, des évêques contre d’autres évêques. Les prêtres qui me vénèrent seront méprisés et combattus par leurs confrères, les églises, les autels saccagés, l Église sera pleine de ceux qui acceptent les compromis et le démon poussera beaucoup de prêtres et de consacrés à quitter le service du Seigneur.”

Le démon s’acharne surtout contre les âmes consacrées à Dieu. La perspective de la perte de nombreuses âmes est la cause de ma tristesse. Si les péchés croissent en nombre et en gravité, il n’y aura plus de pardon pour ceux-ci.”

Avec courage, parle à ton Supérieur. Il saura encourager chacune d’entre vous à prier et à accomplir des œuvres de réparation.”

LA STATUE DE MARIE VERSE DES LARMES 

C’était le 4 janvier 1975, premier samedi du mois, vers neuf heures du matin, alors que les esprits étaient encore tout imprégnés de l’atmosphère joyeuse des festivités qui rythment les trois premiers jours de l’année. Je me trouvais au presbytère quand la nouvelle me fut annoncée précipitamment: ” La statue de la Vierge pleure! ”
Comme c’était le dernier jour d’une retraite prêchée aux Sœurs, j’avais commencé à préparer le sermon, mais j’ai tout de suite déposé mon stylo pour aller voir.
Il était normal d’espérer qu’un signe du Ciel viendrait authentifier les messages donnés à trois reprises par la Vierge à Sœur Agnès. Je m’attendais plus ou moins à la venue prochaine d’un nouveau miracle.
En y réfléchissant bien, ce genre de prodige auquel personne ne s’attendait devait être sans aucun doute le miracle le plus approprié pour une telle cause. Grâce touchante du Ciel en harmonie parfaite avec le contenu des messages, qui remplit à tout instant le cœur d’une profonde gratitude.

Les notes et souvenirs de Sœur Agnès, qui fut l’un des premiers témoins oculaires, évoquent le jour de la première lacrymation:

“C’était après le temps de prière qui succède au petit déjeuner. Sœur K., qui mettait de l’ordre dans la chapelle, vint m’appeler en courant, alors que j’étais dans le couloir:”
– Agnès, viens voir!”
Me demandant ce qui se passait, je l’ai suivie dans la chapelle. Elle m’a montré du doigt la statue de la Vierge.”

Qu’y a-t-il?, lui ai-je demandé en regardant son visage qui avait pris une couleur terreuse. Le doigt qu’elle tendait tremblait comme une feuille. Me rapprochant de la statue, j’ai eu un choc en voyant son visage: il y avait de l’eau accumulée dans les deux yeux.”
– Oh! de l’eau…. me suis-je dit quand l’eau s’est mise tout à coup à dégouliner. De l’eau qui coule des yeux… Mais alors, ce sont des larmes!, ai-je pensé en moi-même. Est-ce que ce seraient les larmes de la Sainte Vierge?, ai-je demandé à Sœur K., mais celle-ci restait figée et ses lèvres étaient agitées d’un tremblement nerveux.”
Sentant mes genoux plier, je me suis prosternée. Puis reprenant mes esprits et me disant qu’il fallait faire quelque chose, je me suis précipitée au téléphone pour avertir le Père qui se trouvait au presbytère à ce moment-là.”
Ensuite, ce fut l’affolement général. Le Père est arrivé aussitôt et toute la communauté s’est retrouvée dans la chapelle en l’espace de quelques instants. Prosternée dans le fond, je n’avais pas le courage de m’approcher de la statue. Je priais en moi-même de toutes mes forces: Sainte Marie, pardonnez-moi. C’est moi qui vous fais pleurer. Pardon! Seigneur, pardonnez-moi parce que je suis pécheresse.”
Marie pleure parce qu’on n’a pas tenu compte de toutes les grâces obtenues par son intercession! J’étais abattue par le poids du regret.”
Ce jour-là, les larmes sont apparues encore deux fois. La deuxième fois, il était une heure de l’après-midi. Comme deux Sœurs retraitantes devaient repartir plus tôt, je suis allée reprendre des médailles exposées en offrande devant la statue de Marie, car j’étais de service à la sacristie ce jour-là. Quand j’ai regardé son visage pour la saluer, après les avoir retiré de la tablette, je fus stupéfaite de voir que les larmes s’étaient remises à couler. Je me suis sentie secouée par une émotion encore plus forte que la première fois, sans doute parce que je les avais découvertes moi-même et de tout près. Mais je me suis ressaisie et j’en ai informé une Sœur qui se trouvait à l’autre extrémité, puis je me suis dépêchée d’aller le dire aux autres. Elles sont arrivées aussitôt avec le Père et nous avons récité un chapelet. “A quatre heures, le Père a commencé la causerie.
J’ai été touchée quand il a expliqué que ces larmes étaient la preuve de l’authenticité des messages. L’émotion que j’avais refoulée jusque-là m’a assaillie subitement et j’ai senti mon corps se vider de toutes ses énergies.”
Après le sermon, le Père s’est aperçu que j’étais dans un état d’affaiblissement tel que j’étais incapable de me lever, tandis que mes compagnes semblaient avoir cru simplement que je m’attardais à prier.”
La troisième fois, les larmes se sont mises à couler alors que j’étais restée ainsi pendant un long moment absorbée dans la prière. Vers six heures et demie du soir, la Sœur venue battre le rappel pour le dîner s’en est aperçue et c’est elle qui nous l’a fait remarquer. Nous étions deux à prier dans la chapelle.”
Cette fois-ci, les larmes ne s’écoulaient plus par accumulation et débordement, elles ruisselaient les unes après les autres. Elles affluaient, affluaient… En un flux continuel, elles formaient des filets sur les joues, le menton, jusque sur la poitrine, et tombaient goutte à goutte.”
J’ai trouvé tout juste la force de me prosterner, me répétant en moi-même sans pouvoir remuer les lèvres:”
– Sainte Marie, Sainte Marie, pourquoi à ce point… ?”

Les Sœurs qui étaient accourues semblaient elles aussi fortement impressionnées. Mêmes celles qui étaient restées perplexes les deux premières fois, peut-être parce qu’elles n’avaient pas bien vu, paraissaient convaincues cette fois-ci de l’évidence du miracle.”
Monseigneur qui était arrivé entre temps et voyait les larmes pour la première fois a fait apporter de l’ouate et a essuyé lui-même au fur et à mesure.”
Vingt personnes furent témoins de ces trois lacrymatoires successives. D’ordinaire, il y avait moins de dix Sœurs présentes dans le couvent, mais des membres de branches régionales s’étaient jointes à nous pour la retraite du nouvel an. Quant à moi qui ai observé le phénomène minutieusement à chaque fois, j’en ai été profondément touché.

Les deux yeux de la statue de bois brillaient, le liquide s’accumulait, débordait, ruisselait, tout à fait comme ceux d’un être humain. Chacun en reparla ensuite comme s’il avait assisté aux larmes d’une personne vivante. Les larmes apparaissaient sur le bord intérieur des yeux où se trouvent les glandes lacrymales, coulaient le long du nez, sur les joues, puis tombaient goutte à goutte, exactement comme une personne humaine qui pleurerait toutes les larmes de son corps en conservant la même position. Les gouttes s’arrêtaient sous le menton comme de petites perles, s’accumulaient sur le col du vêtement, roulaient sur la ceinture, suivaient les plis de la robe et tombaient sur le globe.

Qui pourrait prétendre donner une explication naturelle à un tel phénomène? Les analyses scientifiques du liquide effectuées par la suite ont montré qu’il s’agissait bien de “larmes humaines”. Quand on voit sortir un liquide des yeux d’une statue de bois, alors que celui-ci est si sec qu’il est déjà craquelé par endroits, on ne peut s’empêcher de penser que ce sont les vraies larmes de Marie suscitées une nouvelle fois par la puissance créatrice de Dieu.

Qu’ils croient à la sur naturalité des faits ou qu’ils n’y croient pas, tous les témoins disent avoir été profondément touchés, car ils avaient vraiment eu l’impression de voir pleurer Marie en personne. Avec le temps, il semble que le doute se soit pourtant installé chez certains. Mais quand on tente d’éclairer le miracle avec les seules lumières de l’intelligence humaine on ne comprend rien et on ne solutionne rien; il est évident que c’est la porte ouverte au scepticisme.
Si l’on considère que le miracle transcende toutes les lois naturelles et ne peut être provoqué que par la toute-puissance de Dieu, se demander s’il s’agit d’un petit miracle ou d’un grand miracle n’a pas de sens. On ne peut que s’incliner devant le mystère en se gardant de toute argumentation creuse.

Il y a encore des gens qui non seulement prennent les faits à la légère, mais essayent par tous les moyens de faire valoir la thèse de facultés ectoplasmiques chez Sœur Agnès alors qu’ils ne peuvent avancer aucune preuve à l’appui de leurs affirmations. Or, les études scientifiques menées au cours des dix dernières années n’ont pas permis de nier le caractère surnaturel de ces phénomènes.
Il est à mon sens tout aussi impossible à l’homme de faire sortir des larmes humaines d’un morceau de bois que de changer de l’eau en vin. J’ai le sentiment d’être en présence d’un prodige aussi inouï que celui des noces de Cana dans l’Évangile de Jean où Jésus transforme l’eau en vin.
La statue réalisée dans du bois d’arbre de Judée plus de dix ans auparavant par M. Saburô Wakasa, un sculpteur renommé de la région, avait complètement séché depuis sa réalisation et de petites fissures commençaient à apparaître. Il est déjà miraculeux que de l’eau soit sortie d’un tel matériau, mais il est encore plus prodigieux qu’un liquide légèrement salé, de vraies larmes humaines se soient écoulées précisément des yeux.
Au début, la stupéfaction était telle que personne n’aurait eu l’idée de prendre des photos, mais on le fit par la suite et les preuves objectives restent ainsi conservées. Comment peut-on persister à taxer ces réalités d’illusion ou d’hallucination?
Ainsi, les larmes qui ont commencé à couler le 4 janvier 1975 se sont succédées à des intervalles plus ou moins réguliers, parfois jour après jour, jusqu’au 15 septembre 1981, jour où les larmes coulèrent pour la dernière fois.
Le phénomène s’est reproduit cent une fois.

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Penser la stratégie : entretien avec Martin Motte

« Penser la stratégie ». Entretien de Jean-Baptiste Noé avec Martin Motte, Directeur d’études à l’EPHE et coauteur de « La mesure de la force. Traité de stratégie de l’École de guerre » (Tallandier, 2018).

 

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l’agenda mondialiste à l’arrêt ?

Qui dirige réellement le monde ? Dans son ouvrage « Les démasqués », l’écrivain Claude Janvier analyse la composition de l’hyperclasse, ces grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Bush…) qui contrôlent le monde. Finance, économie, écologie, alimentation, médecine, médias… tout y passe. Leurs outils : les géants de la finance américaine, BlackRock, Vanguard, State Street, qui par leur puissance dépassent le PIB des grands Etats européens. Ces familles sont aussi adeptes de clubs très fermés qui ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts… Et la prochaine étape, déjà en bonne voie, est l’établissement d’une identité numérique. Le Commissaire européen Thierry Breton veille au grain. Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, des voix s’élèvent pour le freiner dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…

 

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Zoom – Max-Erwann Gastineau : Les BRICS, un modèle pour l’Europe ?

L’Occident n’est plus le modèle à imiter. Si la désoccidentalisation apparaît déconcertante, c’est qu’à l’inverse du monde non occidental, sûr de son identité et de ses intérêts, nous autres Européens ne connaissons plus les raisons qui ont fait notre force. Or, dans un monde multipolaire, l’urgence n’est pas à l’uniformisation mais à l’introspection. Elle devrait être, pour les nations européennes, l’occasion de penser avec humilité les conditions de la cohabitation, de s’affirmer pour former ensemble leur propre pôle. Un apprentissage qui passera par un réarmement moral et intellectuel, une confrontation argumentée avec le modèle chinois et les « valeurs nationales » revendiquées par l’ancien tiers-monde. Dans son ouvrage « L’ère de l’affirmation – Répondre au défi de la désoccidentalisation », Max-Erwann Gastineau, diplômé en histoire et relations internationales, croise les références historiques Nord-Sud, mêlant l’analyse des plus influents géostratèges américains aux grands penseurs de l’impossible occidentalisation du monde. Et si la désoccidentalisation du monde était une chance pour l’Europe ?

 

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Origines du Sars-Cov-2

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