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Corinne Lalo – Mensonges et manipulations
L’ENQUÊTE CHOC SUR LE COVID
5 ans après le premier confinement, la journaliste d’investigation Corinne Lalo (affaire du sang contaminé, Mediator, Levothyrox…) dévoile les 10 grands mensonges de la crise sanitaire dans son livre explosif « Fausses pandémies, vrais mensonges – Comment on vous trompe en 10 leçons : enquête« , aux éditions Magnus.
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Dernières nouvelles (dec 2024)
Source: Lettre Alternatif bien etre
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Je vous le dis tout de suite : ce Rapport officiel, fruit de 22 mois de travail, de l’examen de plus d’un million de pages, de centaines de courriers, de dizaines d’entretiens et dépositions et de 25 audiences et réunions publiques, donne intégralement raison, à ceux qui, comme moi, dès le début de la pandémie, ont dénoncé les erreurs et les crimes décidés par les gouvernements, sous l’égide de l’OMS. C’est, donc, véritablement un rapport à l’importance politique et historique capitale, émanant de la première économie mondiale. Il semble, enfin, que les responsables politiques d’une partie du monde se réveillent et fassent un travail honnête et nécessaire en analysant la façon dont cette pandémie a été gérée :
Si vous avez suivi mes lettres depuis début 2020, vous y trouverez les mêmes analyses et les mêmes dénonciations que je faisais alors… … étayées par des milliers de documents. Vous pouvez télécharger et lire l’intégralité de ce Rapport en cliquant sur le lien en source[1]. Pour ceux d’entre vous qui n’ont pas le temps d’ « avaler » ce demi-millier de pages et/ou qui ne lisent pas l’anglais, voici les principales constatations faites par les membres du comité d’enquête. Attachez votre ceinture.
C’est la première page du Rapport : |
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Traduction : « Quatre ans après le début de la pire pandémie depuis 100 ans, les preuves viennent de plus en plus étayer l’hypothèse d’une fuite en laboratoire. Depuis que le sous-comité spécial a commencé ses travaux en février 2023, de plus en plus de hauts responsables du renseignement, de responsables politiques, de rédacteurs scientifiques et de scientifiques ont soutenu de façon croissante l’hypothèse selon laquelle la COVID-19 est apparue à la suite d’un accident lié à un laboratoire ou à une recherche.[2] » Autrement dit, l’hypothèse de la conception du SARS-CoV-2 en laboratoire n’est pas une théorie du complot : c’est une « évidence » étayée par un faisceau de preuves, à commencer par le fait que ce virus a des caractéristiques qu’on ne retrouve pas dans la nature. Le SARS-CoV-2 serait un virus chimérique issu d’une manipulation dans le cadre de recherches financées par les États-Unis à l’Institut de virologie de Wuhan depuis au moins 2017 pour concevoir un virus à « gain de fonction » (soit plus virulent et mortel)[3]. Ici, je dois faire une confession : dans les tous premiers jours de la pandémie, en février 2020, j’ai moi-même qualifié de « complotiste » cette théorie. L’histoire m’a donné tort. Et donné raison sur tout le reste, que voici. 2 – Sur la « distanciation sociale »Les mesures barrière imposées internationalement pour limiter la propagation du virus ne reposent sur aucune vérité scientifique. Sur la distanciation sociale : |
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Traduction : « Les gouvernements à tous les niveaux et les entités privées ont mis en œuvre des mesures de distanciation sociale à l’échelle nationale, ce qui a eu des répercussions négatives sur presque tous les habitants du pays. Les petites entreprises ont limité la capacité des clients autorisés à entrer dans le magasin à un moment donné, les épiceries ont placé des autocollants sur le sol pour indiquer aux gens où se tenir, et les écoles ont eu du mal à rouvrir parce que la règle limitait le nombre de bureaux pouvant se trouver simultanément dans une salle de classe. Conclusion : Il n’y avait aucune preuve scientifique quantitative en faveur de la distanciation sociale de « six pieds »[4]. » De fait, elle repose, selon une audition du Dr Fauci retranscrite p.199 du Rapport, sur une évaluation au doigt mouillé dans une discussion !!! Son adoption généralisée reflète une réponse précipitée et mal fondée des autorités sanitaires. Idem pour les masques – pire encore, même : 3 – Les masques ont causé plus de mal que de bienL’efficacité des masques, en particulier chez les enfants, a été largement surestimée. Les changements constants dans les directives officielles ont conduit à une perte de confiance dans les institutions publiques. |
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Traduction : « Les masques et les obligations de port du masque se sont avérés inefficaces pour contrôler la propagation de la COVID-19. (…) une revue systématique réalisée par Cochrane Collaboration — l’une des méthodologies les plus réputées en matière de soins de santé fondées sur des données probantes — a révélé que les essais contrôlés randomisés regroupés qu’ils ont analysés « n’ont pas montré de réduction claire des infections virales respiratoires avec l’utilisation de masques médicaux/chirurgicaux » (…) Ces résultats semblent contredire directement le soutien des agences de santé publique et des gouvernements locaux à l’obligation générale du port du masque pendant une grande partie de la pandémie.[5]» Au final, les masques ont, selon les auteurs du Rapport, causé plus de mal que de bien, particulièrement chez les enfants[6]. |
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Et c’est rigoureusement la même chose pour… les confinements. 4 – Des confinements « non-scientifiques » aux effets pires que le virusC’est évidemment une grosse partie du Rapport. Les conclusions quant aux « effets » du confinement sont accablantes ; ils ont été pires que le virus lui-même[7] : |
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Alors, c’est très simple : le Rapport conclut que les confinements décrétés sous prétexte du Covid-19 ont gravement endommagé :
L’étape suivante, vous la connaissez : ce sont les vaccins. 5 – Vaccins : une mise sur le marché précipitée et une occultation volontaire des effets indésirablesC’est, là encore, accablant. p.296, la première conclusion tombe : |
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« L’administration Biden et nombre de représentants officiels de la santé ont exagéré l’efficacité des vaccins anti-Covid ». Le programme « Operation Warp Speed », souligne le Rapport, a permis de développer rapidement les vaccins, mais au prix de lacunes dans les essais cliniques et une pression politique ayant conduit à des autorisations précipitées (pages 301-326). De plus, les effets indésirables des vaccins n’ont pas été suffisamment investigués ni communiqués. Le Président Biden et son administration sont personnellement accusés d’avoir « forcé » à tout prix, et au mépris à la fois des règles administratives et scientifiques (le principe de précaution), leur injection auprès de la population. L’un de ces outils d’injection forcée, vous le savez, était le pass sanitaire puis vaccinal. 6 – Le pass vaccinal : une discrimination institutionnaliséeLe pass vaccinal est décrit comme une forme de discrimination institutionnalisée. Il a marginalisé des millions de citoyens, sans preuves solides de son efficacité pour contrôler la propagation du virus (page 218) : |
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« En dépit de l’absence de fondement scientifique, les passeports vaccinaux sont devenus un confinement de facto pour les Américains non vaccinés » Vous vous souvenez ce qui est arrivé à ceux qui, comme moi, dès le départ, ont dénoncé cette forme de ségrégation. Le Rapport est limpide à leur sujet. 7 – Répression des opinions dissidentesVous souvenez-vous aussi de ma lettre sur le courrier envoyé par le patron de Facebook et Meta, Mark Zuckerberg, attestant des pressions effectuées par l’administration Biden pour censurer tout questionnement sur l’efficacité des mesures gouvernementales, notamment le vaccin ? On retrouve cette lettre p.296 du Rapport.Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt : |
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l’administration Biden est accusée par le Rapport d’avoir utilisé des méthodes antidémocratiques pour systématiquement qualifier les opinions divergentes de « désinformation », une stratégie qui a sapé la liberté d’expression et encouragé la méfiance envers les institutions (pages 290-296). Autrement dit : toute opinion divergente a été qualifiée de « désinformation » et tout citoyen et/ou scientifique remettant en cause l’efficacité et l’innocuité des vaccins a été qualité d’antivax et de complotiste. Ce Rapport les réhabilite. |
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« Débattre ou discuter de l’indemnisation des victimes des vaccins n’est pas une attitude « anti-vax » et les implications qui en découlent sont contre-productives pour la protection de la santé publique[8]. » Il les réhabilite, également, dans leur défense de l’immunité naturelle : |
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« L’immunité collective est un concept réel et un phénomène soutenu par les leaders de la santé publique, tels que le Dr Fauci, et il y a eu un effort coordonné des responsables de la santé publique pour ignorer l’immunité naturelle et supprimer les opinions dissidentes[9]» ET MAINTENANT ?Ce Rapport légitime officiellement notre résistance à des mesures sanitaires et politiques liberticides, et notre combat pour maintenir le droit à des choix médicaux libres et éclairés. C’est un camouflet cinglant adressé à l’administration Biden pour sa gestion de la pandémie de Covid-19. Que va-t-il se passer maintenant ? Le premier résultat rapidement observable est la remise en cause du traité pandémie de l’OMS. Le projet de traité proposé par l’OMS est critiqué pour son manque de transparence et sa dépendance excessive à des influences géopolitiques, notamment celles de la Chine (pages 173-187) : |
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L’OMS est ainsi accusée clairement de soumission à la propagande du Parti Communiste chinois concernant la dernière pandémie[10]. Mais, surtout : le traité Pandémie préparé par l’OMS est « inadapté » pour offrir une réponse efficace aux futures pandémies. Et pour cause ! Ce qu’il prévoit… est exactement ce dont le Rapport du Congrès souligne l’inefficacité. En l’état, ce traité pourrait affaiblir davantage la souveraineté nationale des États membres, tout en échouant à résoudre les défaillances fondamentales observées pendant la pandémie. Ensuite, la personne qui doit actuellement songer à payer le prix de ses décisions, c’est Anthony Fauci, le « monsieur Covid » des Etats-Unis, à qui on « doit » l’essentiel des mesures anti-Covid prises aux Etats-Unis… et dans le monde. Son incurie et sa fâcheuse habitude de faire des recommandations dépourvues de tout fondement scientifique devraient en toute logique le conduire à répondre de ses actes devant un tribunal. Je suis prêt à parier que l’une des premières mesures de Robert F. Kennedy, quand il sera aux commandes de la santé américaine à partir du 20 janvier prochain, sera de faire ce bilan critique pour qu’une telle gabegie ne se reproduise plus. Bon, tout ça c’est très bien… Mais la France ? L’Europe ? Eh bien, Emmanuel Macron peut se cacher derrière la crise institutionnelle que vit la France ces jours-ci, Ursula Von der Leyen, présidente de la commission européenne, peut se cacher, elle, derrière les crises ukrainienne et économique… … mais tôt ou tard, ils devront faire, eux aussi, leur examen de conscience public. Il n’est pas envisageable qu’un tel travail de vérité, de justice et de transparence se produise aux Etats-Unis sans qu’il ne puisse, enfin, se produire en France et en Europe. Durant toute la pandémie, la France n’a fait qu’appliquer les recettes de Fauci et de l’OMS. Il est grand temps que les personnes aux commandes de la santé de notre pays durant la pandémie, messieurs Véran, Castex, Delfraissy et consorts, répondent à leur tour devant une commission d’enquête indépendante. Et que les médecins de plateau assignés à la répétition des mensonges sur les vaccins et l’immunité – les Karine Lacombe, Martin Hirsch, etc. – soient également poursuivis pour leur rôle durant cette mascarade – c’est le cas de le dire – aux conséquences durables. Il est, à l’inverse, grand temps de réhabiliter publiquement les médecins et scientifiques qui ont courageusement dénoncé les dérives criminelles durant cette mêmes périodes : je pense aux Drs Michel de Lorgeril et Louis Fouché, aux Prs Didier Raoult et Christian Perronne, à la généticienne Alexandra Henrion-Caude, au regretté Pr Montagnier… Le Dr Michel de Lorgeril est toujours à l’avant-garde de la dénonciation de ces mystifications scientifiques : je vous invite à découvrir ici les vidéos que ce médecin renommé, fiable et indépendant adresse régulièrement à ses abonnés sur les questions de santé. Portez-vous bien, Rodolphe |
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Eolien la belle illusion
Analyse documentée, toujours d’actualité
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Campagnol
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Le professeur Perronne lance un cri d’alarme
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L’Armée aujourd’hui
Interview du général Delawarde par Places d’Armes
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Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins.
Arrêt de la Cour suprême de New York :
Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n’a été possible que grâce à la coopération internationale d’un grand nombre d’avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D’une part, le Code de Nuremberg apparaît à l’article 118b de la Constitution et en Suisse, l’utilisation inappropriée du génie génétique chez l’homme est interdite, selon l’article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l’article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu’à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l’article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d’accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d’accorder un poids particulier à l’importance de ces accusations.
L’avocat allemand Rainer Füllmich et plus de 100 autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n’en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu’il s’agit d’un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l’opinion publique n’en soit pas informée. Nous sommes au milieu d’une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l’hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d’avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants… ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
Vous pouvez voir l’actualité sur le lien suivant :
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Message de la Vierge Marie donné à Akita
Le Message de la Vierge Marie donné à Akita (Japon) en 1973.
L’origine divine en a été reconnue par l’Eglise.
1er Message : Vendredi 6 Juillet 1973
C’était déjà la nuit profonde quand, vers trois heures du matin…J’étais en train de prier. C’est alors que j’ai entendu une voix qui venait je ne sais d’où et qui me disait: “Ne crains pas. Ne prie pas seulement à cause de tes péchés, mais en réparation de ceux de tous les hommes. Le monde actuel blesse le Très Saint Cœur de Notre-Seigneur par ses ingratitudes et ses injures. La blessures de Marie est beaucoup plus profonde et douloureuse que la tienne.
Allons prier ensemble à la chapelle.”La personne qui s’exprimait ainsi était la jolie personne qui avait dit la prière avec moi dans la chapelle.”
Sans doute m’étais-je un peu habituée à elle. Toujours est-il que je me suis enhardie pour la première fois à regarder le visage de celle qui se tenait si près de mon épaule droite. En la voyant, la ressemblance était tellement frappante que j’ai prononcé instinctivement le nom de ma sœur aimée. Celle-ci était décédée quelques années auparavant après avoir reçu la grâce du baptême.”
Alors, elle m’a souri avec douceur et m’a fait un léger “non” de la tête: ” Je suis celui qui est avec toi et qui veille sur toi. ” En même temps, elle m’a fait signe de sortir et a disparu à mes yeux. Je me suis vite rhabillée et quand je suis sortie dans le corridor, elle se trouvait à quelques pas devant moi. Je l’ai suivie à travers le long couloir, à pas rapides, habitée d’un sentiment de sécurité tout à fait comparable à celui du petit enfant qu’on tient par la main. Dès que j’ai mis le pied dans la chapelle, celle qui était si près de moi comme une présence rassurante disparut à mes yeux. “Me trouvant seule, j’ai fait un salut en direction de l’autel, puis je me suis dirigée vers la statue de la Sainte Vierge.”
Les paroles de la “femme” résonnaient encore dans mon esprit: ” La blessure de Marie est beaucoup plus profonde et douloureuse… ”
A l’époque, la statue était installée à droite au fond de l’autel, lequel était surélevé. Lorsque j’ai mis le pied sur la marche de l’autel, j’ai senti soudain que la statue de bois prenait vie et qu’elle était sur le point de m’adresser la parole. J’ai regardé: elle était baignée d’une lumière éblouissante. Instinctivement, je me suis prosternée à terre et au même moment une voix d’une beauté indescriptible a frappé mes oreilles totalement sourdes:
“- Ma fille, ma novice, tu m’as bien obéi en abandonnant tout pour me suivre. L’infirmité de tes oreilles est-elle pénible ? Elles guériront, sois-en sûre. Sois patiente. C’est la dernière épreuve. La blessure de la main te fait-elle mal ? Prie en réparation des péchés de l’humanité. Chaque personne de cette communauté est ma fille irremplaçable.
Dis-tu bien la Prière des Servantes de l’Eucharistie ?Allons, prions ensemble.”
Alors qu’Elle commençait la prière, l’ange qui m’avait conduit à la chapelle réapparut à côté de moi et se joignit à nos voix.
Toujours prosternée et l’esprit vide de toute autre pensée, je venais d’entamer la phrase “Jésus présent dans l’Eucharistie” quand la voix m’interrompit: “réellement présent”, et comme pour mieux l’imprégner dans mon esprit troublé, la voix compléta: “Dorénavant, tu ajouteras réellement”, dit-elle en insistant sur le mot réellement.”
Ai-je même trouvé le temps de répondre oui? Tout ce que je sais, c’est que je ne pensais plus à rien d’autre en m’unissant à la voix dont la beauté inexprimable semblait venir du Ciel. J’étais aidée par la douce voix qui parlait à mes côtés:
” Ô Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à Votre Cœur adorable immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, dans la louange du Père, implorant la venue de votre Règne, et je vous fait l’oblation totale de mon corps et de mon âme. Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois jamais séparée de votre Divin Fils et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. “
Quand la prière fut terminée, la voix reprit:
” Prie beaucoup pour le Pape, les Évêques et les prêtres. Depuis ton baptême, tu as toujours prié fidèlement pour eux. Continue de prier beaucoup, beaucoup. Transmets à ton Supérieur ce qui s’est passé aujourd’hui et obéis-lui dans tout ce qu’il te dira. Présentement, il demande qu’on prie avec ferveur”.
La voix se tut et après un court instant, l’ange entama une prière qui nous est familière. Je repris aussitôt avec lui: “Seigneur Jésus-Christ, Fils du Père… ” Quand cette prière fut terminée, j’ai relevé timidement la tête: la splendeur lumineuse avait complètement disparu. Un ange n’était plus visible et la statue avait retrouvé son aspect habituel. ”
2ème Message : 3 août 1973, premier vendredi du mois 
Une semaine a passé. Sœur Agnès commence la journée par un temps de prière plus long que d’habitude à la chapelle. La matinée s’écoule sans événement particulier. L’après-midi, pendant la visite au Saint Sacrement, elle raconte ce qui arriva:
” Je suis restée à méditer la Passion de Notre-Seigneur à partir de deux heures et demie de l’après-midi et j’ai récité un chapelet. S’était-il écoulé plus d’une heure depuis mon arrivée à la chapelle? Ce jour-là, l’ange gardien est apparu, ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps, et il a récité le chapelet avec moi. Pendant ce temps, j’avais à l’esprit les questions de Monseigneur et je priais secrètement que l’occasion me soit donnée de les formuler.
L’ange avait-il deviné mon désir? L’occasion me fut donnée rapidement:
” Tu as quelque chose à demander? Vas-y, tu n’as pas à te gêner, dit-il avec un sourire en penchant un peu la tête. Alors, prenant mon courage à deux mains, très impressionnée, j’entamai le premier mot, quand soudain, de la statue de Marie, j’entendis comme la première fois la voix d’une indicible beauté:
” Ma fille, ma novice, aimes-tu le Seigneur? Si tu aimes le Seigneur, écoute ce que j’ai à te dire.C’est très important. Tu le transmettras à ton Supérieur.”
” Beaucoup d’hommes en ce monde affligent le Seigneur. Je souhaite des âmes pour Le consoler. Pour adoucir la colère du Père Céleste, je souhaite, avec mon Fils, des âmes qui réparent, par leur souffrance et leur pauvreté, pour les pécheurs et les ingrats.”
” Pour faire connaître au monde sa colère, le Père Céleste s’apprête à infliger un grand châtiment à l’humanité entière. Avec mon Fils, je suis intervenue tant de fois pour apaiser le courroux du Père. J’ai empêché la venue de calamités en lui offrant les souffrances du Fils sur la Croix, son précieux Sang, les âmes bien-aimées qui le consolent et forment la cohorte des âmes victimes. Prière, pénitence et sacrifices courageux peuvent adoucir la colère du Père. Je le désire aussi de ta communauté. Qu’elle aime la pauvreté, se sanctifie et prie en réparation des ingratitudes et des outrages de tant d’hommes.
Récitez la Prière des Servantes de l’Eucharistie en prenant bien conscience de son contenu; mettez-la en pratique; offrez en réparation des péchés. Que chacune s’efforce, selon ses capacités et sa position, de s’offrir entièrement au Seigneur.”
Même dans un Ordre séculier, la prière est nécessaire. Déjà, les âmes qui veulent prier sont en train d’être rassemblées. Sans trop vous attacher à la forme, soyez fidèles et ferventes à la prière pour consoler le Maître. “
Après un silence:
” Ce que tu penses dans ton cœur, est-ce vrai? Es-tu vraiment décidée à devenir la pierre rejetée? Ma novice, toi qui veux être sans partage au Seigneur, pour devenir l’épouse digne de l’Époux, prononce tes vœux en sachant que tu dois être fixée sur la croix avec trois clous. Ces trois clous sont la pauvreté, la chasteté et l’obéissance. Des trois, l’obéissance est le fondement. Dans un total abandon, laisse-toi conduire par ton Supérieur. Il saura te comprendre et te diriger. “
C’était une voix d’une beauté indéfinissable, comme il ne peut y en avoir qu’au Ciel. J’étais beaucoup trop impressionnée.
Cependant, au cours de l’office du soir se produisit un phénomène inhabituel qui porta la métamorphose de la main à la connaissance de toutes. L’office allait bientôt se terminer quand la statue devint à nouveau resplendissante de lumière. L’une des Sœurs, qui se trouvait au premier rang, aperçut un liquide ruisselant comme de la sueur et sortit en informer les absentes.
Sœur Agnès qui avait la tête baissée et ne se doutait de rien, sentit soudain quelqu’un à côté d’elle. Elle leva les yeux et vit l’ange qui lui parla:
“Marie est encore plus triste que lorsqu’elle versait du sang. Essuie la sueur. “
Elle se joignit aux autres qui avaient apporté un sac de coton hydrophile. A cinq, elles épongèrent la sueur avec beaucoup de précaution et de dévotion. Tout le corps en était trempé. Elles avaient beau essuyer, essuyer… Un liquide semblable à de la sueur graisseuse suintait sans arrêt, surtout sur le front et sur le cou. A la stupéfaction générale se mêlait un chagrin partagé par toutes. Sœur K. pria avec des larmes dans la voix: “Sainte Marie, pardonnez-nous de vous causer tant de tristesse et de douleur. Nous vous demandons pardon pour nos péchés et nos fautes. Protégez-nous, aidez-nous! “, et chacune de s’appliquer à essuyer avec les autres l’endroit qui se présente devant ses yeux dans une commune intention de réparation et de vénération. Les cotons sont trempés à tordre.
Après le dîner, on retourne voir la statue: elle est à nouveau en sueur. Affolées, les Sœurs recommencent à essuyer. On entend même Sœur 0., qui n’est pas d’un naturel bavard, murmurer d’une voix triste: ” Mon coton ne s’imbibe pas. On dirait que cela ne coule pas quand j’essuie. ” Aussitôt, comme en réponse à ses paroles angoissées, le coton qu’elle tient se met à boire comme une éponge trempée dans l’eau, ce qui l’impressionne beaucoup.
Au bout d’un moment, l’une des Sœurs fait remarquer que les cotons sentent bon. Chacune se met à sentir le sien: il s’en dégage une essence subtile dont on ne peut dire si elle tient de la rose, de la violette ou du lys. C’est le ravissement général, on n’a jamais senti une essence aussi merveilleuse. Quand Sœur 0. déclare que le plus subtil des parfums ne peut exhaler une telle suavité, et c’est bien l’avis de tout le monde, on se demande si ce ne serait pas le parfum du Paradis.
Le dimanche suivant, quand elles entrent dans la chapelle, elles sont frappées par le même parfum. La Supérieure va s’assurer qu’il vient bien de la statue tandis que les autres, restées à leur place, se sentent comme enveloppées dans les délicieuses effluves. L’abattement de la veille au soir causé par la découverte de la sueur, fait place à la paix et à la joie qui rayonnent sur tous les visages.
Le parfum resta longtemps dans la chapelle. A chaque fois qu’on y allait, on avait l’impression d’être comme transporté au Ciel.
LE TROISIÈME MESSAGE DE LA VIERGE 
Peu après, ses compagnes lui confient la garde de la maison pendant qu’elles sortent en ville. Elle en profite pour se rendre à la chapelle où elle décide de dire le chapelet.Elle raconte:
“Sortant mon chapelet, je me suis agenouillée et j’ai fait le signe de croix. A peine ce geste était-il achevé que la Voix d’une indicible beauté parvint de la statue à mes oreilles sourdes. Dès le premier mot, je me suis prosternée à terre en concentrant toute mon attention:
” Ma fille chérie, écoute bien ce que je vais te dire. Tu en informeras ton Supérieur. “Après un court silence:
” Comme je te l’ai déjà dit, si les hommes ne se repentent et ne s’améliorent pas, le Père infligera un châtiment terrible à l’humanité entière. Ce sera alors un châtiment plus grave que le déluge, tel qu’il n’y en a jamais eu auparavant. Un feu tombera du ciel et anéantira une grande partie de l’humanité, les bons comme les méchants, n’épargnant ni les prêtres ni les fidèles.
Les survivants se trouveront dans une telle désolation qu’ils envieront les morts. Les seules armes qui nous resteront alors seront le Rosaire et le Signe laissé par le Fils. Récitez chaque jour les prières du Rosaire. Avec le Rosaire, priez pour le Pape, les Évêques et les prêtres.
” L’action du diable s’infiltrera même dans l Église, de sorte qu’on verra des cardinaux s’opposer à des cardinaux, des évêques contre d’autres évêques. Les prêtres qui me vénèrent seront méprisés et combattus par leurs confrères, les églises, les autels saccagés, l Église sera pleine de ceux qui acceptent les compromis et le démon poussera beaucoup de prêtres et de consacrés à quitter le service du Seigneur.”
Le démon s’acharne surtout contre les âmes consacrées à Dieu. La perspective de la perte de nombreuses âmes est la cause de ma tristesse. Si les péchés croissent en nombre et en gravité, il n’y aura plus de pardon pour ceux-ci.”
Avec courage, parle à ton Supérieur. Il saura encourager chacune d’entre vous à prier et à accomplir des œuvres de réparation.”
LA STATUE DE MARIE VERSE DES LARMES 
C’était le 4 janvier 1975, premier samedi du mois, vers neuf heures du matin, alors que les esprits étaient encore tout imprégnés de l’atmosphère joyeuse des festivités qui rythment les trois premiers jours de l’année. Je me trouvais au presbytère quand la nouvelle me fut annoncée précipitamment: ” La statue de la Vierge pleure! ”
Comme c’était le dernier jour d’une retraite prêchée aux Sœurs, j’avais commencé à préparer le sermon, mais j’ai tout de suite déposé mon stylo pour aller voir.
Il était normal d’espérer qu’un signe du Ciel viendrait authentifier les messages donnés à trois reprises par la Vierge à Sœur Agnès. Je m’attendais plus ou moins à la venue prochaine d’un nouveau miracle.
En y réfléchissant bien, ce genre de prodige auquel personne ne s’attendait devait être sans aucun doute le miracle le plus approprié pour une telle cause. Grâce touchante du Ciel en harmonie parfaite avec le contenu des messages, qui remplit à tout instant le cœur d’une profonde gratitude.
Les notes et souvenirs de Sœur Agnès, qui fut l’un des premiers témoins oculaires, évoquent le jour de la première lacrymation:
“C’était après le temps de prière qui succède au petit déjeuner. Sœur K., qui mettait de l’ordre dans la chapelle, vint m’appeler en courant, alors que j’étais dans le couloir:”
– Agnès, viens voir!”
Me demandant ce qui se passait, je l’ai suivie dans la chapelle. Elle m’a montré du doigt la statue de la Vierge.”
Qu’y a-t-il?, lui ai-je demandé en regardant son visage qui avait pris une couleur terreuse. Le doigt qu’elle tendait tremblait comme une feuille. Me rapprochant de la statue, j’ai eu un choc en voyant son visage: il y avait de l’eau accumulée dans les deux yeux.”
– Oh! de l’eau…. me suis-je dit quand l’eau s’est mise tout à coup à dégouliner. De l’eau qui coule des yeux… Mais alors, ce sont des larmes!, ai-je pensé en moi-même. Est-ce que ce seraient les larmes de la Sainte Vierge?, ai-je demandé à Sœur K., mais celle-ci restait figée et ses lèvres étaient agitées d’un tremblement nerveux.”
Sentant mes genoux plier, je me suis prosternée. Puis reprenant mes esprits et me disant qu’il fallait faire quelque chose, je me suis précipitée au téléphone pour avertir le Père qui se trouvait au presbytère à ce moment-là.”
Ensuite, ce fut l’affolement général. Le Père est arrivé aussitôt et toute la communauté s’est retrouvée dans la chapelle en l’espace de quelques instants. Prosternée dans le fond, je n’avais pas le courage de m’approcher de la statue. Je priais en moi-même de toutes mes forces: Sainte Marie, pardonnez-moi. C’est moi qui vous fais pleurer. Pardon! Seigneur, pardonnez-moi parce que je suis pécheresse.”
Marie pleure parce qu’on n’a pas tenu compte de toutes les grâces obtenues par son intercession! J’étais abattue par le poids du regret.”
Ce jour-là, les larmes sont apparues encore deux fois. La deuxième fois, il était une heure de l’après-midi. Comme deux Sœurs retraitantes devaient repartir plus tôt, je suis allée reprendre des médailles exposées en offrande devant la statue de Marie, car j’étais de service à la sacristie ce jour-là. Quand j’ai regardé son visage pour la saluer, après les avoir retiré de la tablette, je fus stupéfaite de voir que les larmes s’étaient remises à couler. Je me suis sentie secouée par une émotion encore plus forte que la première fois, sans doute parce que je les avais découvertes moi-même et de tout près. Mais je me suis ressaisie et j’en ai informé une Sœur qui se trouvait à l’autre extrémité, puis je me suis dépêchée d’aller le dire aux autres. Elles sont arrivées aussitôt avec le Père et nous avons récité un chapelet. “A quatre heures, le Père a commencé la causerie.
J’ai été touchée quand il a expliqué que ces larmes étaient la preuve de l’authenticité des messages. L’émotion que j’avais refoulée jusque-là m’a assaillie subitement et j’ai senti mon corps se vider de toutes ses énergies.”
Après le sermon, le Père s’est aperçu que j’étais dans un état d’affaiblissement tel que j’étais incapable de me lever, tandis que mes compagnes semblaient avoir cru simplement que je m’attardais à prier.”
La troisième fois, les larmes se sont mises à couler alors que j’étais restée ainsi pendant un long moment absorbée dans la prière. Vers six heures et demie du soir, la Sœur venue battre le rappel pour le dîner s’en est aperçue et c’est elle qui nous l’a fait remarquer. Nous étions deux à prier dans la chapelle.”
Cette fois-ci, les larmes ne s’écoulaient plus par accumulation et débordement, elles ruisselaient les unes après les autres. Elles affluaient, affluaient… En un flux continuel, elles formaient des filets sur les joues, le menton, jusque sur la poitrine, et tombaient goutte à goutte.”
J’ai trouvé tout juste la force de me prosterner, me répétant en moi-même sans pouvoir remuer les lèvres:”
– Sainte Marie, Sainte Marie, pourquoi à ce point… ?”
Les Sœurs qui étaient accourues semblaient elles aussi fortement impressionnées. Mêmes celles qui étaient restées perplexes les deux premières fois, peut-être parce qu’elles n’avaient pas bien vu, paraissaient convaincues cette fois-ci de l’évidence du miracle.”
Monseigneur qui était arrivé entre temps et voyait les larmes pour la première fois a fait apporter de l’ouate et a essuyé lui-même au fur et à mesure.”
Vingt personnes furent témoins de ces trois lacrymatoires successives. D’ordinaire, il y avait moins de dix Sœurs présentes dans le couvent, mais des membres de branches régionales s’étaient jointes à nous pour la retraite du nouvel an. Quant à moi qui ai observé le phénomène minutieusement à chaque fois, j’en ai été profondément touché.
Les deux yeux de la statue de bois brillaient, le liquide s’accumulait, débordait, ruisselait, tout à fait comme ceux d’un être humain. Chacun en reparla ensuite comme s’il avait assisté aux larmes d’une personne vivante. Les larmes apparaissaient sur le bord intérieur des yeux où se trouvent les glandes lacrymales, coulaient le long du nez, sur les joues, puis tombaient goutte à goutte, exactement comme une personne humaine qui pleurerait toutes les larmes de son corps en conservant la même position. Les gouttes s’arrêtaient sous le menton comme de petites perles, s’accumulaient sur le col du vêtement, roulaient sur la ceinture, suivaient les plis de la robe et tombaient sur le globe.
Qui pourrait prétendre donner une explication naturelle à un tel phénomène? Les analyses scientifiques du liquide effectuées par la suite ont montré qu’il s’agissait bien de “larmes humaines”. Quand on voit sortir un liquide des yeux d’une statue de bois, alors que celui-ci est si sec qu’il est déjà craquelé par endroits, on ne peut s’empêcher de penser que ce sont les vraies larmes de Marie suscitées une nouvelle fois par la puissance créatrice de Dieu.
Qu’ils croient à la sur naturalité des faits ou qu’ils n’y croient pas, tous les témoins disent avoir été profondément touchés, car ils avaient vraiment eu l’impression de voir pleurer Marie en personne. Avec le temps, il semble que le doute se soit pourtant installé chez certains. Mais quand on tente d’éclairer le miracle avec les seules lumières de l’intelligence humaine on ne comprend rien et on ne solutionne rien; il est évident que c’est la porte ouverte au scepticisme.
Si l’on considère que le miracle transcende toutes les lois naturelles et ne peut être provoqué que par la toute-puissance de Dieu, se demander s’il s’agit d’un petit miracle ou d’un grand miracle n’a pas de sens. On ne peut que s’incliner devant le mystère en se gardant de toute argumentation creuse.
Il y a encore des gens qui non seulement prennent les faits à la légère, mais essayent par tous les moyens de faire valoir la thèse de facultés ectoplasmiques chez Sœur Agnès alors qu’ils ne peuvent avancer aucune preuve à l’appui de leurs affirmations. Or, les études scientifiques menées au cours des dix dernières années n’ont pas permis de nier le caractère surnaturel de ces phénomènes.
Il est à mon sens tout aussi impossible à l’homme de faire sortir des larmes humaines d’un morceau de bois que de changer de l’eau en vin. J’ai le sentiment d’être en présence d’un prodige aussi inouï que celui des noces de Cana dans l’Évangile de Jean où Jésus transforme l’eau en vin.
La statue réalisée dans du bois d’arbre de Judée plus de dix ans auparavant par M. Saburô Wakasa, un sculpteur renommé de la région, avait complètement séché depuis sa réalisation et de petites fissures commençaient à apparaître. Il est déjà miraculeux que de l’eau soit sortie d’un tel matériau, mais il est encore plus prodigieux qu’un liquide légèrement salé, de vraies larmes humaines se soient écoulées précisément des yeux.
Au début, la stupéfaction était telle que personne n’aurait eu l’idée de prendre des photos, mais on le fit par la suite et les preuves objectives restent ainsi conservées. Comment peut-on persister à taxer ces réalités d’illusion ou d’hallucination?
Ainsi, les larmes qui ont commencé à couler le 4 janvier 1975 se sont succédées à des intervalles plus ou moins réguliers, parfois jour après jour, jusqu’au 15 septembre 1981, jour où les larmes coulèrent pour la dernière fois.
Le phénomène s’est reproduit cent une fois.
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